Le plaisir de la solitude voyageuse. Monter dans un bus pour des heures, traverser des nulle-parts, ne parler à personne et demander à tout le monde (l'heure, les toilettes, la mer), atteindre des ailleurs et ne rien en partager, en garder pour soi chaque miette. Savourer la non-contrainte humaine, la possibilité du silence, du rien, de la folie. Être sa seule limite. Oh, ce plaisir ! Envie déjà de réenfourcher le sac à dos, de me dévisser le quotidien dans l'inconnu, d'aller à l'escalade des hameaux de nature.
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