Il y a un vent à te laver le cerveau, un soleil à te rincer les poumons, je bats du talon mon euphorie sur les trottoirs, je suis seule et libre, je pourrais crier, j'ai la joie qui grelotte, je la garde entre mes gants, on se trémousse de l'intérieur, je ne demande rien d'autre que la vie comme ça, exactement comme ça, avec de la surprise et de l'oxygène. Je marche au hasard et le pied léger, quand personne ne m'accompagne je peux m'enquiller des kilomètres sans pigner.
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://clignotants.cowblog.fr/trackback/3275778
<< Aujourd'hui