Dimanche 15 avril 2012 à 14:00
Silence total dans ma tête. Tout est devenu blanc.
Je suis sonnée, sous le choc du vide.
Je suis désormais seule,
pour de vrai.
Je suis sonnée, sous le choc du vide.
Je suis désormais seule,
pour de vrai.
Lundi 9 avril 2012 à 12:40
Je ne peux pas croire qu'il m'arrive de croire ce que je ne pensais jamais croire. Comment est-ce possible ? Pourquoi me laisses-tu partir ? Chaque battement de cœur fragilise le fil entre nous, chaque courant d'air nous éloigne l'un de l'autre avec de airs de pour toujours. Tu me regardes et tu sembles trouver cela normal. Tu attends seulement que je te prenne les ciseaux des mains, que je finisse ce geste dont tu rêves, que toujours tu esquisses mais jamais n'aboutis.
Lundi 9 avril 2012 à 12:28
Ich sehe dich an durch die Fensterscheibe. Du lachst und quatschst, ich erkenne dich, du bist mein Mann, ich finde schön und sexy, ich bin ich dich so verliebt. Einen kurz Moment und schon drehst du den Kopf, merkst dass ich da bin. Ein Blitz von schlechtem Laune fliegt durch deine Gesicht und auf ein Mal ist deine ganze Körper vom ernsthaft beschwert. Ich erkenne wieder : du bist der, der mir alles so schwer macht, der Geist meinen Gedanken, der fehlende Stück mein Wohl-fühlen. Dein Blick ist nicht mehr den, den ich geliebt habe, deinen Augen haben keinen Gefühle für mich. Du stehst jetzt neben mir und ich möchte schon wieder verschwinden. Scheiße.
Lundi 9 avril 2012 à 12:21
L'arbre devant le café est devenu vert. Vert nouveau, nouveau-né, vert lumineux, vert pastel, à peine éclos et presque transparent, un joli vert sève, presque un vert brumeux, un beau vert, un vert palpitant et timide, un murmure de vie, un vert secret, et pourtant si porteur d'histoires.
Je ne me lasse pas de regarder l'arbre. Il m'appelle, il m'emmène, il m'apaise, il dessine l'horizon. Je voudrais que jamais il ne murisse; je voudrais l'avoir toujours comme ça, comme un baume dans les respirations. Je voudrais être ce vert là.
Je ne me lasse pas de regarder l'arbre. Il m'appelle, il m'emmène, il m'apaise, il dessine l'horizon. Je voudrais que jamais il ne murisse; je voudrais l'avoir toujours comme ça, comme un baume dans les respirations. Je voudrais être ce vert là.
Samedi 7 avril 2012 à 23:45
hargne harconnée au coeur
Ne viens pas, s'il te plait.
Laisse-moi.
Ne viens pas, s'il te plait.
Laisse-moi.
Samedi 7 avril 2012 à 23:33
J'ai envie de noir, de blanc, de silences, de vides. Je veux des disparitions, des flous, un peu de lumière et beaucoup d'ombre. J'aimerais des seaux d'ombre, de l'ombre à la pelle, pour se cacher, pour étouffer, pour oublier. Pour prendre racine, pour perdre pied, pour chercher, pour chercher de ne plus savoir.
__________Il faudrait défaire le décor. Comment ?
__________Vraiment, je le demande, comment ?
__________Il faudrait défaire le décor. Comment ?
__________Vraiment, je le demande, comment ?
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