Jeudi 31 mai 2012 à 20:56

J'ai retrouvé dans une boite pleine de papiers le dernier de mes cahiers verts, et les derniers mots de la dernière page ont été écrits il y a un an et demi, quand je dormais dans le lit de S. mais que Corny me

Tellement de fatigue ici et là. Toi tu me fais penser à Arian et tu apaises la tourmente, tu as le goût du connu et du reconnu. Mais (...) j'ai tellement de mauvais souvenirs, tant de sentiments déjà vus et visités, comme un voyage dont j'aurais déjà les clefs.

Alors que l'autre petit homme, avec ses airs charmeurs, ses comptines de je n'appartiens à personne et sa passion permanente, lui m'attire comme un aimant, je lui obéis au doigt et à l'oeil même si je lui fais croire qu'il ne m'importe pas tant que ça.

Alors quoi les garçons, à quoi vous jouez ? (...) Avec toi je pourrais faire le pari de la simplicité (...)

Lui joue à me rendre folle, à cette marelle du désir, et il faut tellement l'aimer pour qu'il daigne te croire. Il faudrait lui promettre la lune. Je serai capable de le faire et ce serait sans doute l'une des plus belles aventures de ma courte vie, n'en rêve-je pas depuis des mois ?

Mais je crois que quelque part je lui laisserai tous mes trésors de petite fille, et la moitié de mon cœur et de mon bon sens.

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