Parfois tu m'habites si précisément dans l'absence que c'en est beau.
Je ne peux m'expliquer cette habilité du souvenir,
cette puissance de l'imagination,
cette exactitude de la
reconstitution
Samedi 16 février 2013 à 23:51
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://clignotants.cowblog.fr/trackback/3230628
<< Aujourd'hui