Louise, je ne comprends pas d'où ils te viennent ces cafards, qui d'un coup d'un seul s'agrippent à ton cuir chevelu. Pourquoi ce matin plus qu'un autre, tu souhaites disparaître ? Tu te traînes avec ton regard lourd, ton regard pierre, et moi je ne sais pas. Qu'est-ce qui t'accable, sans mot, sans bruit ? Tu t'éparpilles en aventures, tu laisses partout des bouts de toi, et après tu ne tiens plus vraiment debout; est-ce que c'est ça ? Allez, va dormir. Je m'occupe du reste.
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